Black City Parade (Double vinyle)
Sorti en février 2013, le douzième album studio résolument moderne et lumineux enregistré entre Paris / Bruxelles / Berlin / Tokyo / New York donnera la tournée plus impressionnante du groupe soutenu par les singles « Memoria », « College Boy », « Black City Parade », « Belfast » et « Traffic Girl ». Black City Parade s’est écoulé à 280 000 exemplaires.
Tracklist :
- Black ouverture
- Black City Parade
- College Boy
- Memoria
- Le fond de l’air est rouge
- Wuppertal
- Le messie
- Belfast
- Traffic Girl
- Thea sonata
- Anyway
- Nous demain
- Kill Nico
- Europane ou le dernier bal
Enregistré et mixé entre Paris - Berlin - Bruxelles - New York. Il débarquera ce 11 février 2013. Avec Oli de Sat à la réalisation et Nicola Sirkis. Mixé par Shane stoneback (Cults, Vampire week end). De 40 titres écrits, il n’en restera que 13 + 3 bonus. Et cette fois-ci, pas de duo, comme dans les 3 albums précédents, mais juste Nicola et Oli à l’écriture et Indochine. Avec la voix de Valérie Rouzeau en ouverture de cette parade de la ville noire lisant un texte de Mireille Havet. Pour la première fois tous les morceaux seront joués et enregistrés en live à Bruxelles et chanté au gré des villes et des studios. Pour la 1ère fois le groupe se laisse filmer pendant ses 14 mois, des premières notes au mixage final. Tous les textes sont écrits par Nicola Sirkis avec une participation de Mathieu (Lescop) sur « Trafic Girl », lui qui avait déjà co-écrit « Les Portes du Soir » en 2006 sur l’album A&J. Puis Tom Smith du groupe « The Editors » offre un bonus à cet album avec une chanson magnifique « The Lover ». BLACK CITY PARADE se construira, s’écrira entre des moments et des instants agités, au loin, à Tokyo, et puis plus calme vers Bordeaux et puis de nouveau à Berlin. Cet album, c’est 14 mois d’étapes, de villes inspirantes : Paris / Bruxelles / Berlin / Tokyo / New York et d’autres. Car dans chaque ville, de nuit ou de jour, c’est la parade de la comédie humaine. Il y a les bons et les méchants, des riches et des pauvres, des gens heureux ou tristes, des vivants et des morts-vivants, des naissances et des enterrements, du bruit ou des silences, des colères ou des joies, des souffrances et de l’amour, du sexe et du contre sexe, de l’homophobie et du racisme, de l’art et des monuments, des religions et des diables. Tous ces sentiments et instants de vie, réunis sur quelques km², la ville ou la vie cosmopolite. Et puis se rajouterons des villes comme Belfast pour décrire l’infidélité que découvre Sylvia Path, « Wuppertal », directement inspiré du film « Les Rêves Dansants » et surtout pour Pina Bausch, puis « Le fond de l’air est rouge », sur le printemps rouge québécois. « College boy » et l’homophobie dans les pensions ou les écoles, et ce nouveau « Messie » qui arrive à New York. Les filles en uniformes bleue à Pyongyang en Corée du nord qui règle une circulation qui n’existe pas dans « Trafic girl » « Memoria », l’émotion brute et incroyable qui se dégage, un morceau historique peut être. Et encore le reste « Kill Nico », « Nous demain », « Anyway », « Europane ». Nicola, se confie dans le film à propos de ses textes : « Je ne raconte pas d’histoires, je parle juste de mes états d’âmes ». Des états d’âmes qui toucheront du monde.
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